vendredi 30 mars 2007

Copinez pas avec moi!

Ne prenez pas Lapin à "la légère", et surveillez bien vos enfants, car....
-"hum la mignonne petite fille! taillée en carotte, je vais t'éplucher, puis te rogner...."

mercredi 28 mars 2007


...désolé pour ce manque d'assiduité sur ce blog mais c'est le printemps !

samedi 17 mars 2007

la chasse est ouverte !

Certains en rêvent!

Ensemble disons NON, à la peine de mort et au massacre animalier!

Mais pendant ce temps là....

en tout cas j'attendrai pas qu'ils soient rôtis ou grillés moi, la fête c'est tout de suite maintenant, parole de Pinpin!

chasse au lapin!


-Ah ah, Picpic, regardes moi ça! Le lieutenant à envoyé toutes ses équipes à la case de l'oncle Toad.
Hahaha, c'est trop drôle!
Tu penses que Lapin-Lapin pourrait leurs tendre un piège mon Picpic?
-hum... Je dirais en tout cas que notre lieutenant n'a pas eut ici une idée très brillante d'envoyer tous ses hommes dans la grotte de l'ours!
-De quel ours tu parles?
-Il n'y a pas d'ours André! Mais la case de l'oncle Toad est un endroit dangeureux, étrange et imprévisible. Rallies cela au potentiel de destruction de Lapin-Lapin, André, et tu obtiens le parfait scénario pour le massacre le plus sanglant de la blogosphère. Avec un peu de chance, d'ici quelques temps nous mangerons du poulet grillé!
-ça devient de plus en plus excitant cette histoire, ça me donne envie....de manger du miel!
-..........., je vais finir par penser, André, que ton créateur aurait plutôt dut t'appeler Winnie!
Winnie l'ourson!
-De quel ours tu parles?

vendredi 16 mars 2007

C'est lesquels tes préférés André?


-Avec du miel!

un peu de son...

va et vient

après j'arrête.

je ne pouvais pas ne pas la mettre!

oui l'humour est notre force, mais attention...


Attention car ça sent le fasho a plein nez,
alors rigoler c'est bien,
encore faut-il en conserver le droit.
Alors aux urnes , faites pas les burnes!

ça balance hein!!!

jeudi 15 mars 2007

voici le voilà , inspecteur...

Plus un geste les filles!
Et dites moi vous êtes de vraies petites pucelles toutes les deux!
Posez vos pétards à terre, et retournez vous.
Nan mais regardez moi ça ces deux belle gueule là!
Vous faites la star Ac ou vous travaillez pour Quentin?
Allez dites moi , je sais qu'il y a un truc!
La coiffure, le maquillage!
Putain faites pas les chiennes, moi aussi je rêve depuis toujours d'illuminer Broadway,
de faire pleurer mon publique.
Allez, pistonnez moi un peu et j'oublie tout ce que je viens d'entendre.
Ok, vous voulez là jouer comme ça, qu'a cela ne tienne,
je m'en vais vous en servir moi de l'inspecteur.
Vos petits derrières vont trembler, je vais me faufiler tel un vers au travers de vos intestins.
Allez habou, à quatre pattes.

ça part en vrille!!!

-Bouges plus!, Espèce de fucking saloperie de shit de merde de putain de macaque pervers.
Non mais regardes moi ça Habou, c'est pas croyable de voir jusqu'où nous ont menés les libertés!
-Je t'ai déjà demandé de plus m'appeler Habou, bordel, ça me mets hors de moi.
Tu peux pas t'encrer ça dans le crâne, bordel de dieu de merde, que ça me rappel trop ma putain de saloperie d'enfance au Turkistan, entouré de putain de moines chamoineux ou chamanistes de mon cul. Hein, et les attouchements alors, c'était du chamois?
-Oh, putain Habou, arrêtes de tout ramener à ton passé anal, merde! On est sur un putain de coup foireux là, et tu sais très bien que si on ne finit pas ce putain de bordel de merde de boulot de brun proprement, Dicker's va nous descendre! Bordel, réagis là!
-Ouais je sais, excuses moi, mais ça me fait tellement mal à mon petit coeur à chaque fois, de repenser a tout ça, tu sais....
-Allez, allez, mon vieux ressaisis toi , et je te promet, dés que tout ce foutu bordel sera fini, je t'emmène avec moi faire une petite virée au pays des bouddhistes en sandales, et là crois moi, tu l'auras ta revanche, on va en faire de la purée de ces saloperie de fuckeurs de merde de putain de moines, tu m'entends là? De la confiture!
-Oh merci Clint, toi au moins t'as toujours su me dire les bons mots. Tu es mon ami Clint et je t'aime.
-OH oh oh, ça va là; fais pas ta gouinasse , tu sais que je supporte pas.

oh la vache!

Han han, jolie, jolie!
Miam, il a du goût André, du goût
Legal le goût
Avec du miel
Moui, moui
Oh c'est bon, c'est bon
Moui.........

une véritable fixation!


Hum....
Des traces de miel inspecteur!
Regardez! Là et là. C 'est du miel de Zambie!
Je suis formel: c'est encore un coup d'André.

Vous vouliez les voir! Les voici!

-t'as vu André, regardes là-bas!
-qu'est que c'est?
-ah, c'est une femme ça André!
-ah, c'est beau!
-ah ça pour sûr mon grand que c'est beau, et c'est bon aussi!
-ah oui?
-oui! J'en ai mangé une fois, farcie aux pruneaux, un délice!
-beurk, j'aime pas les pruneaux!
-ce n'est rien, il existe d'autre recette tu sais.
-m'en fout! tu m'as coupé l'appétit!
-allons...André, ne fais fais pas l'enfant, regarde encore!
-encore?
-son corps!
-encore?
-son corps!
-encore?
-oui encore André, regarde son corps!
-ah ça y est, ça y est, j'y suis, oui , oui, ...avec ....du miel!
-oh non c'est pas vrai , le voilà repartit!
- hum, du miel! du miel! miam miam, mon précieux miel!

(pour info André c'est le petit chinois, imaginez vous la voix de Sméagol... logique que Picpic soit le grand cul-blanc avec la voix de .... gollum gollum)

le russe blanc!


la boisson du duc....

wah, le bordel ici!

- ahlala qué ché chté misère,
-quoi?
-bah r'garde donc André, t'il voit pas c'ti bordel qui nous ont foutu ici!
-cré vindiou, qu'est que c'te misère ici?
-ah bah ti vois! ils nous ont tout retourner ici, pis r'garde plus bah...
-ah, l'enculé, l'enculé!
- trahis par not'dirlo, vendus comme des bêtes eud'fwar!
-cré misère mon Picpic
-tu l'as dit André c'est la merde, l'a claqué toutes les photos de nos vacances l'aut'belch'là...
-c'est bâtard non?
-tu l'crois un peu ou point?
-point peu en tout cas!
-c'est quand même un comble...
-un grenier???
-non, un comble!
-...?
-ah, toi pour sûr t'es comblé là hein?!
-...??
- tout cas l'aut'lapin là, l'aura pas pointer l'museau pendant not'abscence.
- l'aurai eu peur peut-être!?
-quel biloute tu fais twâ, peur de quoi donc? hein t'peut dire ti eud'quoi t'aurai pûs frémir dans c'bazarre ? Du saint-mielleux sans doute!
-....!!!!
-l'aura eu honte oui, d'participer a une telle mascarade. Faut dire que même mi, j'y serai retourné voir grand-mère au terrier pour point vivre çô!
-t'as un terrier?hum...
-, un fox! arrrg
-ah bon?!
-bon , trêve de plaisanterie, vas nous falloir redresser ça...
-ah, mais j'suis bien droit moi mon Picpic!
- cré vindiou! Tu vas arrêter de regarder l'miel couler twé là?!
-meuh!
-c'est vrai, j'te l'accorde, c'est bien ce qu'ils ont fait de plus joli. Mais c'était a nous de l'faire!
-ah oui hein, pis on aurai mis plus de miel pardi!!
-....!!

je vous en parlais hier!

écoutez ça!

mercredi 14 mars 2007

Par tous les Saints!

Ce miel a l'air bon!

recommandé!

tapez sur Google "julien petit",
a savoir saxo.
Si le plaisir vous prend,
achetez l'album!

le bougnouillisme s'élargie


Il fût facile à une époque d'entamer la discrimination sur des apparences liées à la race ou a la couleur de peau.
Aujourd'hui, qu'a cela ne tienne, mais comme défendu tétant, "l'étranger" ,est comme devenu intouchable.
Mais en cela ,la discrimination ne s'attouche pas elle-même, laissant l'ayant droit tranquille, aujourd'hui ,quelque soit sa couleur, s'attaquant a une pauvreté multicolore!
L'adversité étant devenue notre apparat, nous nous délectons tous de ce menu proposé.
et qu'a cela ne tienne, nous montrons les dents,
nous faisans chien hostile,
jusqu'à ce qu'abattu dans la rue du four a chaux, une minorité se révolte jusqu'à créer, écoutez bien!, un auditoire! Peine vaine car l'autocar a pris le départ depuis plus d'un quart...
d'heure, qui s'est dissolvée, sur toutes ces pensées , égarées!

STOP !!


mon ptit zezus, sauve nous de cette avalanche de cacas...la scatophilie est un péché pas mortel mais bon quand même...au debut ça allait, mais là nan ça depasse les bornes, manger son caca, et pis pourquoi pas boire son pipi, tant qu'on y est! amen

encore une assiette et retour à la normale


Moi ce qui me dérange avec les ouvriers, spécialement ceux qui exercent dans le bâtiment,
c'est qu'il traînent en longueur, ils s'incrustent, insistent sur les détails techniques, sur les évolutions du métier et des conditions de travail, sur la politique menée par nos politiques, qui ne se soucient plus de savoir si l'épanouissement et l'équilibre mental font toujours partie intégrante du quotidien du travailleur;
A travers ces nobles causes, que je ne discutent en aucun cas; et les aller- retour incessants a la camionnette, pour aller chercher un outils de forme spéciale (forme de bouteille!), et sans revenir avec le dit-outil, Monsieur S.Catho réussit tout de même a multiplier les heures supplémentaires, et ce en travaillant d'arrache-pied (on eût dut dire d'arrache crotte!), jour et nuit et sans relâche, depuis 3 jours...
Mais s'en est trop, il va vite nous finir son assiette et aller dépanner quelqu'un d'autre.
Allez mon brave, on finasse pas sur la fin , si il en reste, je m'occuperai de nettoyer derrière vous.
Encore merci et bien le bonjour à votre épouse.
ahhh.... enfin

pas fiers!


On éprouve toujours quelques difficultés a faire venir le plombier chez soi, lorsque nos toilettes sont bouchés, et de rester là , à regarder ce pauvre malheureux besogner dans le brun; le nôtre, plus précisément celui de Môssieu Picpic; afin de justifier son salaire.
C'est pourquoi nous avons décidé; et ce afin d'aider notre plombier préféré : Monsieur S.Catho dans sa "tâche"; de disposer de petits paquets de brun, dans de petites assiettes en porcelaine de Chine, (en vrai du Dakota mais ça a toujours contrarié grand-mère!), afin de rendre au travail ce que le patronat lui a dérobé: du plaisir!
Sur ce Monsieur Catho, je vous laisse travailler, et dites moi, vous prendrez bien un petit déca?

ça s'arrange pô!!!

Hé quelle merde!
Il aura réussit a nous boucher tous les chiottes du blog le Picpic,
déjà qu'il a fait passer le P-cul sur le compte de la boutique,
maintenant il va falloir faire appel à un professionnel!
Pas si sympathique la colique....

interruption momentanée


Picpic ayant attrapé (au vol) une colique sympathique,
et André étant gentiment partit quérir, au super U, du P-Cul,
pour son ami emmerdé (sous moult forme...);
nous vous prions de bien vouloir excuser cette prompte interruption, qui vous évitera les désagréments causés par les passages ennuyeux
que vous auriez été amenés a zieuter!
Nous apprécions votre compréhension et vous remercions de rester avec nous.
La direction.

Clémentine, 3ans, Peyrusse-le-roc (aveyron), nous envoie:


J'adore votre blog, continuez comme ça , je vous aime.
Clémentine

cours d'anatomie

mardi 13 mars 2007

petite snifette?

son seul but est de t'attraper
lapin ,afin de t'aspirer
la cervelle.

lundi 12 mars 2007

ah bon?

BEURK !

J’respire les gaz nocifs de mes industries cérébrales. Tout disfonctionne.
Rien ne m’effleure, je vois tout de loin, j’ai besoin de tout et je ne veux rien.
Je sèche mes idées jusqu’à ce qu’elles croustillent.
Mon sang circule doucement, le monde n’est qu’une vieille histoire.
Je somnole me dit-on !
Ah non , je suis loin d’un sommeil, ici tout est abstrait.
Je tire sur la ficèle, pour faire tomber les rêves.
Mes pieds, mes jambes, mon corps,
Ça ne se sens que trop, mais je n’me sens pas la force d’en faire quelque chose.
Je n’veux pas penser, mais je pense quand même, et je ne vois même pas le fond de mes pensées.
Pensée colorée, pensée endormie, pensée oubliée.
Je plis sous le poids de cette onde choc permanente, collé au sol, je ne rêve même pas , j’avale, le gros amas gras qui revient de mes poumons.
J’aimerai juste peut-être me croire dans l’eau, m’y croire oui, y être…
Une eau claire et limpide, sans aucune particule, une eau vierge, sans histoire.
Une eau qui glisse sur tout, même sur elle même.
Mais je ne suis pas dans l’eau, je ne transpire même pas , je suis sec.
Mon esprit aussi, rêvent d’être hydratée.
Mais dans son désert, le peintre a oublier de mettre les Oasis.
Les nuages passent, de plus en plus vite,
Mon corps s’enfonce et se fossilise.
Mon esprit reste là, scellé dans le marbre
L’Ennui s’en empare, j’aimerai mes démons, retrouver l’enfer, non l’enfer c’est ça, de se sentir mort, de le sentir…
L’encre coule a flot, j’écris avec du sang, une femme pleure, elle ne chante pas. Elle pleure, et à mon oreille, quelle douce mélodie.
J’ai eu cet enfant , qu’elle m’a tendu un jour noir où les démons fuyaient cet ange aux veines tranchées.
Oui j’ai mangé mon fils, car l’amour me dévore. Suicide impossible, j’suis increvable, insomniaque, alors je me noie, encore une fois je transperce ma pensée avec cette aiguille rougissante.
Là j’ai mal, mais la douleur n’est qu’une manière d’évacuer ce trouble, au milieu de ce brouillard brumeux, épais, qui ne tombera jamais.
Ah, oui, si je suis une planète, je souhaite être bombardé par ces pluies de météorites- astéroïdes.
Que cette vérité mensongère s’éclate comme une mouche à merde, sur les vitres trop propre d’un palace pour scarabée d’or…..en retraite !

à suivre...

Ça clignote!
A première vue sans doute un satellite.
On ne sait pas.
Eve et moi on regarde le ciel,
A la recherche d’étoiles filantes.
Pis on ne s’éparpille pas,
A regarder le ciel,
Qu’il clignote ou pas.
On a le reflet de nous même,
Là sur la pelouse,
Éventrée.
Qui a eu l’idée un jour de cracher,
Ou de jeter une pierre?
Conne question a savoir qui est
Le fabricant d’arme,
L’homme a qui le crime ne paie pas,
Le premier pendu,
Le hamster de, Mourad.

haha

Démo!
Jparle a voix haute dans ma tête.
A voix « basse » comme un
Restant
De ce qui reste,
Quand le restant est partit.
Et puis quoi ?
Le restant partit,
On peut voir a terre,
Quelques fleurs.
Elles sont belles ces fleurs!
D’abord fleuries,
Pis belles.

O connasses,
Filles du soleil
Et de la terre,
Qu’elle chance tu as !
Demain reste un dommage inégalable face
A ce genre de tragédie pittoresque;
Qu’on s’inflige malgré bon gré,
Comme le vent sur les blés,
Qui deviendrons peut être
Fiers ou frêles selon leur bon vouloir,
Selon leur condition,
Selon, monsieur, ce qui s’ouvre a eux.
Car la possibilité de possible
N’est pas la même pour tous.
Madame, entendez moi!
Vous que je clame avec délicatesse.
Laissez moi apaiser mes louanges,
pour qu’enfin elles retrouvent leurs vertus.

point break.

samedi 10 mars 2007

même pas peur !!

vendredi 9 mars 2007

Attention lapin....fézé attention!

Lapin provençal aux aubergines
Ingrédients :

1 beau lapin et 1 demi (coupé en petits morceaux)
6 aubergines
150 g de lard de poitrine fumée
12 gousses d’ail
Quelques brins de romarin
1 dl de vin blanc sec
2 c. s. de tapenade
Sel, Poivre, Huile d’olive

Recette :
Lavez les aubergines, essuyez-les et coupez-les en dés.
Enlevez la couenne du lard.
Faites chauffer l’huile d’olive dans une cocotte, et faites dorer les morceaux de lapin.
Faites dorer les gousses d’ail non épluchées avec le lard puis retirez l'ensemble.
Rajoutez 3 c.s. d'huile d'olive et faites dorer les aubergines.
Mettez le lapin et les lardons sur feu vif puis verser 1 dl de vin blanc en mélangeant.
Laissez évaporer le vin puis salez, poivrez et ajoutez le romarin.
Baissez le feu (moyen) et laissez cuire pendant 25 minutes en couvrant au 2/3.
En fin de cuisson,rajoutez la tapenade diluée dans un peu d’eau chaude et couvrez quelques minutes.


Conseils :
Servez ce plat aux saveurs du midi avec des pâtes fraîches.
Boisson conseillée :
Rouge léger : Saumur Champigny, Maçon
Rosé : Bandol, Tavel
Blanc : St véran
wé ta rezon !
ahahah...(rire sardonique de lapin (cuniculoésque))

période de couvre feu.

Suite aux derniers évènements,
Et pour assurer le sécurité
des habitants de ce blog,
nous sommes forcés d'employer
la mesure du couvre-feu;
Donc ce soir mes cocos ,
tout le monde devant TF1,
en ce moment c'est débat
politique, de quoi passer le temps...
(entre parenthèse):
toute personne se trouvant hors de son domicile
sera contrôlé,
toute personne contrôlée,
à défaut de papier en règle,
ou munit de hashish,
sera fusillié sur le champs.
A défaut de champs , cela sera fait sur un parking!
Je vous l'avais dit:
"ça rigole plus!"
t'as trop rigolé mon lapin!
...voire de Kong FOU !

la rigolade a assez durée.

Lapin...mon lapin
Lapinou croquinou,
allez sort ton joli minois.
Bon £%*µ"^¨ de lapin,
tu va arrêter tes connerie là,
yen a marre,
on rigole plus!
Je te préviens si tu continue,
je vais sévir!
au-to-ri-té
fer-me(taguoul)-té
nous sommes dans un pays de droit(e),
mon lapin,
mais aussi de devoir.
Lapin...
tu veux que je t'explique
comment je vois les choses?
Comment je vois la france?

dédicace

zaré teud'bwar!

AnnDdrrééé

attention lapin,
on écrase pas les gens sur ce blog!
j'vais t'arracher la tête si tu continue,
tu ne peut pas continuer ainsi,
c'est scandaleux!
faisez attention tout de même...à trop rigoler

accordez ,accordez ,accordéon...

jeudi 8 mars 2007

et la trottinette alors!

C'est vrai ça ! C'est bien de rigoler, même si ça change rien à ce monde de brin, mais faites le à trottinette !
//vous irez plus vite c'est déjà ça.//

L'humour est notre force!

21ème siècle après ce tordu de J.C,
et le monde tire sa tronche la plus pitoyable:
guerre, religion, fric, sexe, pouvoir, violence, esclavagisme....
J'en passe, et des meilleures.
L'heure est grave.
Alors que nos chers collègues de la déconne, les politiques,
foutent plus de bordel qu'ils ne trouvent de solution;
La seule chose qui fasse peur aux cinglés qui se prélassent sur leurs trônes,
c'est que l'on puisse rire de tout ce foutu merdier.
Quoique tu fasses, que tu bosses, que tu chômes,
baises, chies, fumes, joues du piano, te masturbes...
Un seul conseil, fais le en riant!
Et ne te gênes surtout pas, ris en public,
devant les forces de l'ordre,
ris même à la piscine lorsque tu es sous l'eau,
ris jusqu'à en perdre toutes tes dents.
Ris, pauvre humain, et tu verras,
le monde rira!

afin que tout fleurisse!

Il ya maintenant très longtemps de cela, sur une planète lointaine: "Cronon", vivait un peuple tranquille: les Tantacroniens.




Ils possédaient des océans, se nourrissaient d'algues jaunes et vivaient heureux en jouant des musiques croniques.
Lorsqu'un jour, des envahisseurs de la galaxie Broudhafla, envahirent la planète, violèrent toutes les Croniennes et mangèrent toutes les algues jaunes; Puis ils repartirent piller d'autres planètes.
A partir de ce jour, l'ambiance changea sur la planète Cronon.
Pour survivre, les Croniens durent manger des algues bleues qui les transformèrent en énormes limaces transparentes.


Pour se reproduire, les Croniens-mutants durent s'accoupler avec des papillons desperados.

De ce mélange, il fût le Néocronien, énorme alligator aux ailes d'oiseaux de mondes fantastiques.


Ces derniers, se développèrent d'une manière incroyable et d'une rapidité inouie.
Mais dans un mauvais sens, avec une mauvaise idée: détruire l'univers!
Cronon était une planète noire, habitée par des monstres, rêveurs de destruction.
Mais lors de l'invasion des hordes de Broudhafla, certaines Croniennes furent emmenées....et fécondées, par les pirates de la galaxie Broudhafla.
De ce mélange fût le Broudhanien, énorme méduse à poils de mammouth, et à défenses....de mammouth aussi.
Ces derniers évoluèrent très vite et de manière incroyable, ils avaient bientôt développé une technologie performante, permettant a l'union des galaxies de s'auto régénérer, "afin que tout fleurisse."

Mais entre Néocroniens et Broudhaniens, une guerre devait éclater.
Elle éclata!
Le combat fût si fort et si intense , qu'il fit éclater le Grand Tout.
Pendant longtemps, ce ne fût que poussière et vapeur, la pénombre hurlait sa souffrance.
Puis de poussière en poussière, des mondes nouveaux naquirent, la vie revint, et quantité de planètes furent peuplées de créatures aux technologies fuyantes.
Tout reprenait une place.
Jusqu'au jour où....

Yourrrrrriiiiiiiii...........

Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées;
Mon paletot aussi devenait idéal;
J'allais sous le ciel,Muse! et j'étais ton féal;
oh!Là là! que d'amours splendides j'ai rêvées!

Mon unique culotte avait un large trou.
-Petit -Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la grande ourse
-Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou.

Et je les écoutais, assis au bord des routes
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
de rosée à mon front, comme un vin de vigueur;

Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirai les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur.

l'esprit chapoté

mercredi 7 mars 2007

badabidouboudi....bouh!


Elle ressemblait à un chat noir,
qui marchait sous un réverbère.
Ou alors a un entonnoir,
dans la casserole d'un berbère.
Si cette chanson vous fait rire,
ne vous gênez pas et riez.
Mais si elle vous fait sourire,
vous n'avez plus qu'a la chanter.


mardi 6 mars 2007

hier

Le soleil plombait.
Notre cerveau rafraîchit par un t-shirt mouillé,
noué autour de nos crânes,
tel un turban.
En dessous :
une humidité chaude,
de transpiration,
de combustion cérébrale.
De notre perchoir,
on en voyait en bas,
au loin,
des lumières-
signes de civilisation,
de villes, villages
d'habitants, de maisons,
de fontaines,
d'eau!
on avançait péniblement,
au travers un épais tapis de fougères,
qui en nous fouettant caressant continuellement les cuisses et les hanches,
au travers l'épais de nos pantalons et de nos pull noués autour des dites...hanches.
pour sûr ça nous grattait,
nous donnait chaud,
encore plus:
nous fatiguait.
puis lourdes étaient nos godasses remplies de sable...
chaud!
Et on avançait péniblement.
Soif!
On s'accusait parfois d'un regard,
réprimant l'autre de sa présence,
gardant toute fois la sagesse,
de dire que celle ci nous empêchait de toucher au goulot.
On enchaînait donc,
a tour de rôle,
par une petite phrase sympathique,
visant a se remotiver l'un l'autre,
et a oublier un peu.
Soif!
On s'arrêtait parfois,
ou dans un ralentissement,
s'accordait un cour instant,
pour se relâcher le temps,
de s'en rouler une!
Paradoxe car c'est la gorge d'autant plus sèche,
que nous reprenions un rythme plus ardu.
Atteindre cette route goudronnée fut un premier soulagement.
Lorsqu'elle fût protégée par cette forêt inattendue en fût un autre.
De l'ombre.
Une once de fraîcheur.
S'en était trop,
nos sens en déséquilibre,
nous entraînèrent a liquider,
ce que nous conservions fraîchement,
(le mot est vain)
depuis des heures,
plaqué contre nos corps brûlants,
une bouteille d'eau,
en verre!
Même pas un litre,
soixante quinze décilitres.
Un trésor!
Un accord passé nous entraînât a nous rincer les lèvres.
Ce fût trop bon.
Ce fût trop peu.
La bouche en réclamait,
puis la gorge,
puis le corps tout entier.
On rêvait de piscine,
d'ombrelle,
délicatement disposée,
dans un grand verre,
d'eau!
Tout simplement d'eau.
Mais ce fût l'esprit,
assoiffé,
déshydraté,
qui nous emmena a vider la bouteille,
entièrement,
vide!
Plus une gouttelette de goutte,
plus un fragment de nuance de vapeur,
rien!
Que du verre ultra sec,
et ultra inutile.
Sous la fraîcheur moins fraîche
qu'a l'instant précédent,
nous nous sentîmes bien,
puis désolé,
puis nous rigolâmes,
ensemble,
de se sentir ainsi coupable et honteux a la fois.
Notre rêverie laissa place a nos pas,
usés,
qui frottait le sol.
Encore!
Encore!
Encore!
ça descendait,
c'était bon signe,
tout était en bas!
Mais a combien encore?
Le poids de la bouteille vide nous rappelai au délire de l'eau.
Son absorption récente nous ouvrit les portes d'une nouvelle perception,
bien réelle,
tout aussi tortueuse,
beaucoup plus affligeante.
La faim!
Mais comme la fin doit suivre,
le bruit inattendu ,(bien sûr!)
d'une machine, d'un moteur,
se précipitait vers nous tranquillement.
Un bruit et plusieurs véhicules passèrent,
improbables,
mystérieux,
peuh...
Des voitures hautes gammes avec climatisation
et jus de fruit intégré.
La fatigue nous évita les question.
Ce fût finalement un motoculteur que nous entendîmes,
puis vîment enfin arrivé.
Pétardant ,pétant ,répétant.
Il se glissa jusqu'à nous,
comme dans un rêve.
L'échange multilangue avec son conducteur fût court,
déjà nous croulions sur la paillasse d'herbe fraîchement coupées
qui occupait la remorque.
Le visage trop fatigué se refusait a dessiner
le sourire que notre esprit arborait,
plein de reconnaissance.
D'autre mot encore!
Nous descendions lentement,
a peine deux fois plus vite que sur nos jambes,
mais que c'était bon!
Nous ne dormîment pas!
Peut être trop épuisés,
en tout cas trop concernés pour négliger
de regarder,
de dévorer,
cette route, ce chemin,
que nous aurions dut
parcourir a pied.
La descente dura certainement plus de deux heures.
Elle fût magnifique,
inoubliable!
Les mercis, les adieux....
Ensuite nous marchâmes encore,
vers une facilité apparente,
un confort compromis,
un ordre effrayant.
Notre ventre criai famine.
Aller nous paraissait moins agréable.
A chaque instant le volte face aurait pût être,
mais nous finîmes a manger du miel,
a la grande cuillère,
a tour de rôle.
Un pot de 500 grammes!

lundi 5 mars 2007

asseyez-vous!

Une des premières particularités du broudiz, est qu'il évolue constamment assis.
Quelque soient les circonstances et ce , même en état d'extrême urgence,
il ne démordra pas de cette position.
Aussi, jamais n'a t'on vu un broudiz , quelque soit sa classe sociale ou sa position politique,
se lever pour prendre la parole.
Non, les broudiz communiquaient assis,
parlaient assis,
et il en n'est encore ainsi!
Toujours , le broudiz, aussi traditionnel soit-il, parle assis.
A savoir l'immense sagesse nécessaire a cette activité,
une majorité de broudiz se contente encore d'être assis en silence.

nous reviendrons sur ce sujet....